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- ACTUALITES - A MEDITER Justice

26/1/12



 
AFFAIRE LACONO
L'ANCIEN MAIRE RESTE EN PRISON


  Christian Lacono, condamné à 9 ans de prison pour le viol de son petit-fils, qui depuis a retiré ses accusations, restera incarcéré dans l' attente de l'examen de sa requête en révision. La commission en révision a ordonné un supplément d'information. Ces nouvelles investigations doivent permettre de voir plus clair dans ce dossier et de déterminer s'il existe des éléments suffisamments probants pour libérer Christian Lacono. Ecroué de nouveau depuis le 9 janvier, il a déposé une requête en suspension de peine ainsi qu'une requête en révision. Christian Lacono, 76 ans, a été condamné en 2009, puis en appel en février 2011, pour le viol de son petit-fils Gabriel aujourd'hui âgé de 20 ans.
MAIS en mai 2011, l'affaire avait rebondi : Gabriel était alors revenu sur ses accusations maintenues pendant 11 ans et portant sur des faits qui se seraient déroulés entre 1996 et 1998.
EN DEPIT de ces rétractations, la COUR de CASSATION, qui ne tranche que d'éventuels points de droit mais n'aborde pas le fond du dossier, a rejeté en novembre 2011 le pourvoi de Christian Lacono.
(extraits la dépêche du Midi, mardi 24 jancvier 2012)

A méditer   1 :

POURQUOI laisser M. Lacono en prison le temps des nouvelles investigations ?
Est-il un dangereux récidiviste ? Va-t-il s'enfuir ? Trouble-t-il l'ordre public ?
A 76 ans, après 11 ans de procédure, il me semble clair que M. Lacono restera à la disposition de la justice. Alors quel intérêt à le maintenir en prison ?
Si ce que l'on ose appeler la JUSTICE reconnaît dans 2 ans qu'il est innocent, comment MONSIEUR LE JUGE lui rendra ses 2 années de vie et le reste... après cette épreuve qui dure depuis plus de 10 ans ?

MONSIEUR LE JUGE s'excusera-t-il ? NON car il représente la JUSTICE !!!!
MONSIEUR LE JUGE est au-dessus du commun des mortels quand il se vêt de sa robe de JUGE.
LA JUSTICE décide unilatéralement qu'elle est INFAILLIBLE.


A méditer  2 :

Quand l'accusateur accuse, en 10 minutes on met le prévenu en GAV de 48 h puis en prison sur la foi d'une parole...
MAIS lorsque L'ACCUSATEUR déclare qu'il est un MENTEUR, on laisse le prévenu dans sa cellule.

BELLE EQUITE !!!!

Je laisse la conclusion à la fille de M. Lacono : "Cela les arrangerait bien qu'il meurre en prison. La justice ne veut pas reconnaître ses erreurs".


 A méditer 3 :

AFFAIRE JUDICIAIRE. On observera le traîtement dont bénéficie M. LE PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE COURROYE dans l'affaire dite des Fadettes qui lui continue apparemment d'exercer son métier.
Et par ailleurs, je n'ai pas oublié le son de sa voix au téléphone rassurant un conseiller de Mme Bettencourt affirmant qu'en septembre le dossier en cours serait clos... Ai-je eu la berlue ?!
   
 



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